Dans la continuité de la vocation artistique d’utiliser la danse pour soutenir des causes, Mélina de Lamarlière a enfilé son costume d’interprète à la soirée caritative organisée par le Croissant Rouge du Kurdistan en Suisse, en faveur des victimes du séisme survenu le 6 février 2023.
Mélina de Lamarlière est invitée à représenter en mouvement l’identité de la marque de vêtements Maaru. Une entreprise textile qui s’inscrit dans la mode durable. Une vidéo créée grâce à la collaboration du réalisateur Clément Choukroun.
Invitation de l’association Camarada – Centre d’accueil, de formation et d’insertion professionnelle à Genève. À l’aide de la projection des courts-métrages, créée en avril 2022, Mélina de Lamarlière intervient bénévolement pour aborder les thèmes du droit au travail et de la formation. Puis, elle sensibilise aux dangers de l’industrie de la mode rapide. C’est ce jour-là que Mélina rencontre la couturière et costumière Isabelle, qui travaille uniquement à partir de textiles de deuxième main. Isabelle sera la costumière l’année suivante pour la création Dust.
Les collaborations artistiques restent un moteur pour la chorégraphe Mélina de Lamarlière. Grâce à la proposition de la chorégraphe Juliette Rahon, elle collabore avec le quatuor Arteli, composé des musicien-nes de l’orchestre de Suisse romande, en interprétant la pièce de « La jeune fille et la mort » dansée pour la création de « La jeune fille et la mort » de Schubert.
Suite au spectacle présenté à l’ADC : « À notre place » de Davide-Christelle, la chorégraphe de Speak in Silence guide l’atelier corporel. Une démarche artistique et une analyse du corps dans l’espace, en lien avec la mémoire collective et personnelle, résonne en Mélina de Lamarlière. Jusqu’à donner lieu à un atelier inédit à l’EPFL, pour les étudiants en dernière année de Master d’architecture. Une collaboration initiée par l’enseignante Zoé Lefèvre.
Aux prémices des recherches pour la première pièce sur la Fast Fashion Industry, la chorégraphe Mélina de Lamarlière s’entretient à plusieurs reprises avec Taslima Akhter, une photographe Bengalie mondialement reconnue suite à ses clichés pris pendant la catastrophe du Rana Plaza et publiés en couverture du Times. Elle oeuvre également pour défendre les droits des ouvrières du textile. Mélina de Lamarlière obtient des témoignages poignants pour comprendre davantage la réalité des conditions de vie des travailleurs
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